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La Fête des Vendanges, une fête de l’ironie1 minute de lecture

par Max Moeschler
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fête des vendanges

La légendaire Fête des Vendanges de Neuchâtel, temple de l’épicurisme local, a fait son grand retour après trois ans de disette dûs à la pandémie. Force est constater que les choses n’ont pas été faites à moitié, malgré une météo peu clémente. C’est bien 350’000 personnes qui se sont réunies pour s’enivrer joyeusement, soit 50’000 de plus que l’édition précédente, en 2019. Et un record absolu qui n’est pas prêt d’être battu. Mais il y a peut-être quelque chose de plus notable…

C’est que cette fête des vendanges est aussi celle de l’ironie: on y boit, dit-on, absolument de tout… sauf du vin! Et surtout pas du vin local, souvent dénigré par les autres Romands. Il est vrai que la faune de la fête a une tendance marquée à l’ingestion compulsive de bière, de gin tonic ou de tout autre alcool fort se trouvant à portée de main déjà moite et collante. Bien que caricatural, ce cliché se confirme, du moins partiellement, en se baladant de stand en stand. Chose d’ailleurs plus facile à dire qu’à faire, entre les coudes serrés des badauds, les jets de boissons et les flaques de liquides non identifiés, tant de choses propres au folklore festif.

Ecrire à l’auteur: max.moeschler@leregardlibre.com

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Image: Photo de prise lors de l’édition 2022 © Fête des Vendanges

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