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«99 francs»: un roman plus kundérien qu’il n’y paraît5 minutes de lecture

par Jonas Follonier
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D’après le sociologue Michel Maffesoli, qui s’est exprimé dans l’émission «Face à l’info» du 9 mars dernier, nous nous trouvons au carrefour de deux époques; à un temps de la quantité sommes-nous peut-être en train de revenir à un temps de la qualité. Si tel est le cas, peut-être le XXIe siècle sera-t-il celui du roman, qui lui seul est capable d’exprimer les vérités non quantifiables. A de maints égards, et sans doute de façon surprenante, 99 francs, le roman de Frédéric Beigbeder dénonçant la tyrannie de la publicité et qui inaugure la trilogie mettant en scène Octave Parango, peut se lire selon cette conception-là du roman – celle Milan Kundera.

«Ce qu’on est incapable de changer, il faut au moins le décrire.» C’est sous l’autorité de ce mot de Rainer Werner Fassbinder que Frédéric Beigbeder place son roman 99 francs. A travers le récit de son double Octave Parango, l’auteur y ten

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