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Le regard d’Isabelle: De la paresse2 minutes de lecture

par Isabelle Schönbächler
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Sandrine Rousseau © Wikimedia CC 4.0

La très provocatrice députée française Sandrine Rousseau a récemment jugé bon de proclamer l’existence d’un «droit à la paresse». Emoi de toutes parts. Mais pourquoi l’association de ces deux termes passe-t-elle mal? Décryptage à partir du concept de paresse.

La paresse est le dernier des sept péchés capitaux, ce qui n’augure rien de bon la concernant. Philosophiquement parlant, la paresse n’est ni une capacité, ni un sentiment, ni une émotion, mais une disposition, ou plus exactement l’absence d’une disposition: la disposition à l’effort. Etre paresseux, c’est être réfractaire, voire impropre à l’effort.

Mais qu’est-ce que l’effort? En mécanique, l’effort désigne une contrainte ou un ensemble de contraintes appliquées à un système, lequel exerce une résistance à cet effort, jusqu’à son éventuelle rupture. Transposé à la conduite humaine, l’effort est la mise en œuv

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