Spécial élections fédérales – Jonas Follonier
Le libéralisme et le conservatisme, deux créneaux de la droite classique européenne, ne sont pas les grands perdants des élections fédérales. A bien y réfléchir, la préoccupation écologiste désormais officiellement présente au sein de la population dénote une nouvelle forme de conservatisme et de façon de concevoir la liberté, au-delà de la dimension sociale et progressiste qui caractérise ce mouvement. Une mutation des grandes idéologies qui comporte bien sûr de grandes forces, mais aussi de grands risques. Analyse.
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