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ARTICLE LONG FORMAT, Jean-David Ponci | Dans le sillage de Beethoven, nous avons abordé précédemment les trois géants du XIXe, Wagner, Liszt et Berlioz, que l’on pourrait aussi dénommer les bulldozers du romantisme. Progressistes et innovateurs à l’extrême, ils ne correspondent guère à l’idée de l’artiste romantique, méditatif et fragile. Il est temps de laisser place aux «introvertis» de l’époque qui ont été des géants d’une autre manière. Il a déjà été question de Schubert, il reste Chopin, Brahms et surtout Schumann. Encore aujourd’hui, il est difficile de savoir ce qu’il en était de la folie de Schumann et de son amour pour Clara. Face à une vie auréolée de mensonges par ses proches, il nous lègue une œuvre criante de vérité, des chefs-d’œuvre de sensibilité qui font de lui le plus passionné des romantiques, ou peut-être même le plus romantique des romantiques.
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Berlioz, le géant incompris
Selon Wagner, ils étaient trois. Berlioz, Liszt et lui: les trois géants de l’époque. Cela laisse songeur. En quoi un compositeur aussi controversé que Berlioz pourrait-il être un géant? Exalté par quelques-uns, décrié par beaucoup, la seule chose que l’on puisse en dire, au premier abord, est qu’il ne laissa pas ses contemporains indifférents.
Schubert, une vie à l’ombre de Beethoven
Toute sa vie, Schubert a vécu dans le culte de Beethoven. Cinq jours avant sa mort, il prie son ami Karl Holz, qui vient le visiter avec son orchestre, de lui jouer le quatuor n°14. Cette admiration de Schubert pour Beethoven peut surprendre, au premier abord, tant les deux personnages semblent différents.
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