Archives par mot-clé : slatkine
Jean Romain nous raconte la route
Les bouquins du mardi – Jonas Follonier
C’est sous son casque de motard que le député genevois Jean Romain livre son nouvel ouvrage aux Editions Slatkine, intitulé Raconte-moi la route et composé à la fois de textes et de photographies. On y suit ses virées aux quatre coins du monde, entre plaines, lacs, montagnes, motels, mortels, monuments-vallées. Au terme d’une lecture agréable, on en retient des couleurs, des odeurs, on garde en mémoire ce qui est aussi une histoire de camaraderie et, surtout, un éloge de la littérature, qui pourrait bien prendre les formes d’une femme.
Lire la critiqueUne machination orchestrée par Jérémy Ergas
Les bouquins du mardi – Lauriane Pipoz
Lire la critiqueEntretien avec Guillaume Poisson, président du Cercle Littéraire de Lausanne
Le Regard Libre N° 50 – Ivan Garcia
Le lundi 1er avril 2019, au Cercle littéraire de Lausanne, nous rencontrons Guillaume Poisson, président du Cercle en question, historien professionnel et directeur scientifique d’un ouvrage récemment paru aux Editions Slatkine, Les trésors du Cercle littéraire de Lausanne, deux siècles de collections patrimoniales, 1819 – 2019. Monsieur Poisson a accepté de répondre à nos questions au sujet de cette institution lausannoise qu’est le Cercle littéraire; nous l’avons donc interrogé sur son intérêt pour celui-ci, le rôle de la société dans la vie lausannoise, ainsi que sur certains points évoqués dans le livre qu’il a dirigé.
Lire l’entretien«Dominique de Buman, un Suisse»
Le Regard Libre N° 50 – Jérémie Bongiovanni
Le Professeur Gilbert Casasus publie un mélange en l’honneur de Dominique de Buman aux Editions Slatkine. Des contributions de divers auteurs, ayant partagé un moment de la vie politique du conseiller national. Il s’agit avant tout d’un éloge de l’homme et du politicien démocrate-chrétien fribourgeois. Des sujets relatifs à la politique suisse et chers à Monsieur de Buman y sont également traités dans de courts essais.
Lire l’article«Le soleil était éteint»: un roman historique qui manque de finesse
Les bouquins du mardi – Lauriane Pipoz
Marguerite est une paysanne savoyarde. Elle travaille chez un pharmacien avec qui elle a une très bonne relation. Voyant en la jeune femme beaucoup de potentiel, il décide de la recommander à une riche famille de Genève. Marguerite et sa famille partent alors pour la ville dans un contexte où la paysannerie est une activité très difficile: c’est en l’an 1815, l’«année sans été» où le climat a pâti de l’explosion d’un volcan indonésien.
Lire la critiqueLes «Arpèges» d’une amitié, entre lettres et couleurs
Les bouquins du mardi – Jonas Follonier
Arpèges est la réunion de la peinture et du verbe. Publié chez Slatkine suite au décès de Jocelyne Gagliardi, qui fut professeur de littérature et d’histoire de l’art en Valais, cet ouvrage célèbre l’amitié de cette femme avec la peintre Isabelle Tabin-Darbellay. Par une sélection de lettres qu’elle lui a envoyées. Un véritable coup de cœur.
Lire la chroniqueBertil Galland, l’homme de lettres romand
Le Regard Libre N° 46 – Alexandre Wälti
Bertil Galland est une personnalité qui a directement influencé le rayonnement d’auteurs romands tels que Jacques Chessex, Maurice Chappaz ou Alexandre Voisard. S’il est journaliste avant d’être éditeur, il a également écrit huit livres passionnants aux Editions Slatkine (voir recension sur http://www.leregardlibre.com) dans lesquels il évoque à la fois son travail journalistique et éditorial et sa passion des mots. Un homme généreux qui nous a offert plus d’une heure de son temps à Vevey. Une discussion qui a simplement commencé par le désir de savoir qui nous sommes, d’où nous venons et ce que nous faisons au Regard Libre. Un homme à l’écoute et qui a été à l’affût pour révéler au grand public de nombreuses plumes de Suisse romande.
Lire l’entretienEntre littérature et randonnées
«Et Lamarck créa Darwin»
Le Regard Libre N° 40 – Jonas Follonier
Pourquoi la girafe a-t-elle un long cou ? Vous êtes-vous déjà posé cette question ? Jean-Baptiste de Lamarck est en tout le cas la première personne à y avoir apporté une réponse. C’est parce qu’il doit manger les feuilles situées sur les plus hautes branches des arbres que cet animal a acquis un long cou. Le milieu et le comportement déterminent l’espèce.