La gare de Lausanne s’agrandit et pour cela, elle a besoin d’espace. Or, comment faire pour dégoter davantage de place quand on se situe en plein cœur d’une ville saturée où le moindre cm2 est déjà exploité? La réponse est la même que lorsqu’on est chargé d’organiser les prochains Jeux Olympiques: expulser les locataires et détruire leur lieu de vie! Certains n’étaient là que depuis quelques mois, d’autres depuis presque toute une vie. Tous nous accueillent chaleureusement au numéro 26 de la rue du Simplon où se déroule l’exposition «Traces de passages», chapeautée par Sébastien Martinet.