Voici la suite du nouveau roman de l’écrivain suisse André Durussel, publié en primeur dans Le Regard Libre durant toute l’année 2024.
(suite…)Littérature
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Après avoir lu «Le Barman du Ritz» de Philippe Collin, passer devant cet hôtel parisien ne sera plus anodin. Car durant l’Occupation, Frank Meier, «meilleur barman au monde», servait sous les rires des nazis, dans un théâtre contrasté de champagne et de guerre.
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Ce portrait bouleversant d’une fillette enlevée par son père est un incontournable de la rentrée littéraire romande. Il semble déjà promis à un beau succès auprès des prix francophones.
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Année après année, Peter continue d’ausculter les mystères et les connivences entre les individus. Avec «L’heure bleue», le romancier thurgovien nous emmène dans l’arrière-scène d’un documentaire sur un écrivain.
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Avec ce roman coup de poing de la rentrée littéraire romande, Lovlé Tillmanns entre avec brio dans la tête de la «première dame» du IIIe Reich. Fascinant et dérangeant.
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Un délicieux sentiment naît lorsque l’on est face à une œuvre mariant littérature et cinéma. C’est ce que permet «Oslo, de mémoire», à travers un voyage mémoriel dont l’auteur, Didier Blonde est coutumier.
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Dans son dernier roman, le Genevois démonte avec délectation tous les clichés de l’Amérique «made in Hollywood». Et on aurait tort de penser qu’on en avait déjà suffisamment entendu parler.
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Après s’être aventuré en poésie et avoir publié un essai (consacré à Jean Lorrain), Quentin Mouron a renoué avec ses amours romanesques grâce à «La dernière chambre du Grand Hôtel Abîme». Des retrouvailles en dents de scie.