Pour les milieux économiques, le système de milice est une clé du succès du pays. Directeur romand de l’Union patronale suisse, Marco Taddei nous explique les bénéfices de ce système pour les entreprises malgré la réticence d’une partie d’entre elles. (suite…) Ce contenu est réservé à nos abonnés. Si vous avez un compte, connectez-vous. Sinon, …
La façon dont est posée une question joue un grand rôle dans le débat public. Cette dimension sous-estimée des discussions notamment contemporaines en explique de nombreuses issues. La confusion a fait beaucoup de mal au débat d’idées ces derniers temps.
Faut-il que les entreprises instaurent une transparence des salaires en leur sein?
La question s’est peut-être invitée dans votre quotidien professionnel ou vous a déjà effleuré l’esprit: est-il souhaitable pour une firme de rendre les rémunérations de ses collaborateurs publiques à l’interne? Deux de nos auteurs en débattent.
Economie des coûts, collaboration, distraction, les open spaces divisent jusque dans notre rédaction.
Au fil des décennies, le système suisse de milice a favorisé une compréhension réciproque des mondes professionnel, politique et associatif, ainsi que la mutualisation de connaissances. Cela se vérifie aussi pour la culture de la prévention dans la population.
Le système dit de milice est critiqué loin à la ronde. Cependant, ses pourfendeurs passent à côté de sa logique propre, qui participe avec le fédéralisme et la démocratie directe de la construction institutionnelle, et ainsi identitaire, de la Suisse.
L’Australie n’hésite pas à soutenir les efforts des Etats-Unis et de leurs alliés pour lutter contre la montée en puissance de la Chine, pourtant son premier partenaire économique. Une dépendance de fait qui limite la marge de manœuvre stratégique de Canberra.
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par Pascal Couchepin
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par Sophie Woeldgen
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