La très provocatrice députée française Sandrine Rousseau a récemment jugé bon de proclamer l’existence d’un «droit à la paresse». Emoi de toutes parts. Mais pourquoi l’association de ces deux termes passe-t-elle mal? Décryptage à partir du concept de paresse.
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Regard sur l’actualité – Loris S. Musumeci
France 2 a diffusé samedi soir l’émission d’On n’est pas couché, animée par Laurent Ruquier, sous la critique et les larmes. Alors que tout avait commencé dans l’habituelle ambiance cathodique, mêlant légèreté et combativité, les prémices d’un déraillement sont tout de suite apparues dans l’introduction entre la nouvelle chroniqueuse et l’ancienne ténor d’Europe Ecologie Les Verts.
L’animateur commence à questionner la politique Sandrine Rousseau sur son livre Parler. Elle raconte donc l’agression sexuelle subie par l’intouchable Denis Baupin, de son même parti, le déni total et l’absence de conséquences à ses égards. Et là, la même Christine Angot, qui s’émouvait un peu plus tôt face à la chanteuse Sheila et la diffusion d’une interprétation de Bang bang, se lance à l’attaque.
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