Quelque part en Guadeloupe. Soleil antillais et air du large. Au fil des ans, l’humidité, le sel, les embruns se sont attaqués à la tôle, l’ont rouillée, mangée, déchirée, sculptée. La modeste case créole – abandonnée, ou pas – est devenue œuvre d’art, ou galerie ouverte au ciel, au vent et à la mer.
Vous venez de lire un photoreportage paru dans notre édition papier (Le Regard Libre N°110). Débats, analyses, actualités culturelles: abonnez-vous à notre média de réflexion pour nous soutenir et avoir accès à tous nos contenus!Vers les précédents photoreportages de Bernard Léchot
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