A la différence d’Eugène Rambert au XIXe siècle ou de Maurice Chappaz (1916-2009), Charles Ferdinand Ramuz (1878-1947) ne s’est jamais aventuré sur les hautes routes. Fidèle à une conception ancestrale de la montagne considérée comme un lieu à éviter, le Vaudois la décrit dans toute son étrangeté.
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