J’aime les films d’actions. Certes, je ne jurerais pas que par ce genre, mais je l’apprécie. De la série des James Bond assurément répétitive, aux Jean-Claude Van Damme portés par un semblant d’histoire, et même jusqu’aux films de Steven Seagal pourtant connus pour ne pas voler très haut. Mais là, John Wick m’en demande trop. «Si tu veux la paix, prépare la guerre», dit la citation latine qui donne à ce troisième volet son titre; eh bien si tu veux t’emmerder pendant plus de deux heures, prépare John Wick.