Ce dimanche 9 février, une nouvelle votation était enterrée, non par le Röstigraben qui se trouve d’ailleurs être une notion de moins en moins pertinente pour l’analyse de la politique suisse, mais par une fracture entre les zones urbaines et les zones rurales. L’initiative populaire «Davantage de logements abordables» est acceptée dans tous les cantons de Suisse romande ainsi que dans celui de Bâle-Ville; ailleurs, seules les villes alémaniques acceptent le texte. Le propos n’est pas ici d’analyser une énième fois ce nouveau fossé politique suisse, mais de proposer quelques réflexions sur les formes que pourraient prendre les futures relations entre urbanité et campagne.
Tag:
Initiative populaire
-
Suisse
Pour une démocratie directe de qualité (Rencontre avec Tibère Adler)
par Jonas Follonierpar Jonas FollonierLe Regard Libre N° 14 – Jonas Follonier Nous retournons ce mois-ci vers des horizons libéraux avec le directeur romand d’Avenir Suisse, qui propose de réformer le droit d’initiative pour…