Le Regard Libre N° 75 – Antoine Bernhard
Plus de cinquante ans après sa sortie, Playtime brille encore par son génie. Quelle place pour l’homme dans la société industrielle? C’est sûrement la question centrale posée par cette comédie burlesque, qui a ruiné son réalisateur, Jacques Tati. Playtime n’a rien en commun avec les pitreries mièvres et grasses que produit bien souvent le cinéma français actuel. Fruit d’un travail esthétique sans pareil, ce long-métrage mérite amplement sa place parmi les plus grands films de l’histoire du cinéma. Et, signe de tous les chefs-d’œuvre, il nous parle encore aujourd’hui.
Lire l’article long format (abonnés)