Le Regard Libre N° 66 – Anaïs Sierro
C’est aux sons des grincements de mon tourne-disque, de la clarinette de Bechet et de la pluie nocturne, que je m’apprête à rédiger cet article. L’ambiance est posée. Du vintage, du jazz, du romantisme et une thématique, celle de ce réalisateur qui me fascine depuis moult années: Woody Allen. Il est le premier et seul à m’avoir proposé des films qui semblaient sortir de ma tête et ses réflexions hallucinantes, mais aussi le premier à pénétrer mes rêves et passions. Voici Allen selon le «point de cœur» de ce qu’on appellerait: une admiratrice.
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