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Le droit au blasphème, un concept contre-productif3 minutes de lecture

par Antoine-Frédéric Bernhard
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Le Regard Libre N°69 – Antoine Bernhard

Lors du massacre de Charlie Hebdo et du récent attentat de Conflans-Sainte-Honorine, un thème a envahi la scène politique et médiatique, surtout française: le «droit au blasphème». Ses défenseurs l’invoquent au nom de la laïcité et de la liberté d’expression, les islamistes en font un motif de plus pour détester la France et l’Occident. Certes, la formule est efficace. Mais qu’en est-il de sa pertinence?

En 1789, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen instituait pour la première fois dans l’histoire un droit à la liberté d’expression: «Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses…» Depuis 1948, elle est garantie par l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme: «Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses op

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