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Les précepteurs n’étaient pas tous des saints3 minutes de lecture

par Antoine Lévêque
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précepteur

Si les écrits de Rousseau ont ouvert la voie à une littérature de l’éducation intime, ils ont aussi donné forme à la vision stéréotypée du précepteur qui a dominé le paysage littéraire français jusqu’à Stendhal.

D’après Charles-Augustin Sainte-Beuve, l’un des plus éminents critiques littéraires du XIXe siècle, les hommes de lettres sont tous amenés, au travers de leurs œuvres, à parler d’eux-mêmes. Certes, cette thèse n’a pas fini de diviser les théoriciens de la littérature. Toutefois, il semble qu’il existe depuis plusieurs siècles un sujet dans lequel l’expérience personnelle de l’écrivain sert généralement de base à ses écrits: l’éducation.

Rousseau fut sans nul doute un pionnier en la matière, lui qui s’est confié sur certains des traumatismes de son enfance et a esquissé une nouvelle façon d’envisager la formation des jeunes générations dans l’Emile.

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