Archives par mot-clé : antoine bernhard
Snarky Puppy: «Les gens comprennent mieux notre musique en nous regardant jouer»
Snarky Puppy, sommet du jazz contemporain
Le cinéma et la Shoah: un regard sur l’horreur
N’oublions pas que nous sommes mortels
De Niro et Machiavel dans: «Il était une fois le Bronx»
Les mercredis du cinéma – Edition spéciale: Les gangsters au cinéma – Antoine Bernhard
Après presque trente ans d’expérience comme acteur, De Niro endosse en 1993, pour la première fois de sa carrière, le rôle de réalisateur. Dans Il était une fois le Bronx, il pousse la prouesse jusqu’au bout, et assume l’un des trois rôles principaux de son propre film. La performance est remarquable, le film l’est tout autant. Penchons-nous sur l’un des deux seuls films réalisés par un géant d’Hollywood.
Lire la rétrospectiveA «Casablanca», les gens sont beaux!
Les mercredis du cinéma – Edition spéciale: L’amour au cinéma – Antoine Bernhard
«Les gens sont beaux», aime à dire parfois une camarade. C’est la première impression que m’a faite le film de Michael Curtiz. Femmes et hommes de caractère, costumes, manteaux, longues robes et beaux chemisiers, habits traditionnels et vieilles voitures nous font revivre le charme d’un monde qui n’existe plus. Et qui n’a peut-être jamais existé…
Lire la rétrospectiveJoker sur les chemins de la liberté
«Nostalghia»: et si Baudelaire était russe?
Les mercredis du cinéma – Edition spéciale: La coronarétrospective du cinéma vous présente Tarkovski – Antoine Bernhard
Un poète russe, Gortchakov, est sur les traces d’un compatriote compositeur qui a séjourné en Italie au XVIIIe siècle. Aidé d’une traductrice, Eugenia, il parcourt le pays, découvre la chapelle où Piero della Francesca a peint la Madone de l’Enfantement, ainsi qu’un village avec une vieille piscine d’eau chaude dédiée à Sainte Catherine. Gortchakov rencontre là un illuminé, Domenico, qui cherche à sauver le monde du matérialisme où il se complaît. Avant de s’immoler par le feu, il confie à Gortchakov une dernière tâche: traverser la piscine, vidée de son eau, avec une bougie à la main, sans que la flamme ne s’éteigne…
Lire la suite de la rétrospectiveLa coronarétrospective du cinéma vous présente Tarkovski
Les mercredis du cinéma – Edition spéciale: Les coronarétrospectives du cinéma – Loris S. Musumeci
Chaque mercredi, nous proposons trois critiques de films dans l’actualité du cinéma. Mais inutile de vous dire pourquoi nous prenons une pause dès aujourd’hui. Une pause, une vraie pause. C’est-à-dire une pause qui nourrit, qui ressource. «Pause» vient du latin pausa qui, sans surprise, signifie «cessation», «trêve». Dès le XIVe siècle, le mot latin pausa intègre néanmoins le champ musical pour indiquer les silences entre les notes.
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