Avec le recueil de poèmes en prose Le Spleen de Paris, publié à titre posthume, Charles Baudelaire a enrichi son œuvre dédiée à la mélancolie d’une dimension nouvelle: son ancrage dans la ville et le quotidien. Dans une forme radicalement nouvelle, le sujet baudelairien se comprend comme un chroniqueur de son miroir atrabilaire. Jusqu’à faire du Spleen de Paris le pendant des Fleurs du Mal – autrement dit, son égal.
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Poèmes en prose
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Littérature
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par Jonas Follonierpar Jonas FollonierAngélique Eggenschwiler est une étudiante en anthropologie et chroniqueuse au quotidien La Liberté. Native de Fribourg, elle a publié son premier ouvrage il y a deux ans aux Editions de l’Hèbe.…