S’il se distingue par sa canne et ses costumes bien taillés, le dandy est aussi et avant tout un homme qui s’attache à la beauté intellectuelle. Et dans un monde conformiste, il se joue des normes avec orgueil et se rêve comme «le dernier éclat d’héroïsme dans les décadences», selon les mots de Baudelaire. Ainsi, le dandysme littéraire serait une insurrection de l’élégance contre le trivial. Et à ce petit jeu de défi émerge une figure en Suisse romande: Florian Eglin. Rencontre avec un esthète littéraire plein de punch.
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