Le couple, à la fois ancrage et vertige, miroir d’une société en mutation. Dans son nouveau roman, Nathan Hill dévoile la beauté crue et les failles brûlantes de cette institution intemporelle.
Critique littéraire
-
Popularisé sous le pseudonyme L’Odieux Connard, Julien Hervieux revendique le slogan «Qu’il est bon d’être mauvais!». Dans son nouveau livre, il démonte avec délectation les plus grands affreux qui ont jalonné l’histoire.
-
Pauline Toulet livre un premier roman farfelu et critique du monde littéraire, centré sur personnage déjanté, plus porté sur les marabouts que son époque. Mais qui, lui, n’aura pas réussi à m’envoûter.
-
Après avoir lu «Le Barman du Ritz» de Philippe Collin, passer devant cet hôtel parisien ne sera plus anodin. Car durant l’Occupation, Frank Meier, «meilleur barman au monde», servait sous les rires des nazis, dans un théâtre contrasté de champagne et de guerre.
-
Ce portrait bouleversant d’une fillette enlevée par son père est un incontournable de la rentrée littéraire romande. Il semble déjà promis à un beau succès auprès des prix francophones.
-
Année après année, Peter continue d’ausculter les mystères et les connivences entre les individus. Avec «L’heure bleue», le romancier thurgovien nous emmène dans l’arrière-scène d’un documentaire sur un écrivain.
-
Avec ce roman coup de poing de la rentrée littéraire romande, Lovlé Tillmanns entre avec brio dans la tête de la «première dame» du IIIe Reich. Fascinant et dérangeant.
-
Un délicieux sentiment naît lorsque l’on est face à une œuvre mariant littérature et cinéma. C’est ce que permet «Oslo, de mémoire», à travers un voyage mémoriel dont l’auteur, Didier Blonde est coutumier.
-
Dans son dernier roman, le Genevois démonte avec délectation tous les clichés de l’Amérique «made in Hollywood». Et on aurait tort de penser qu’on en avait déjà suffisamment entendu parler.
-
Après s’être aventuré en poésie et avoir publié un essai (consacré à Jean Lorrain), Quentin Mouron a renoué avec ses amours romanesques grâce à «La dernière chambre du Grand Hôtel Abîme». Des retrouvailles en dents de scie.