Archives par mot-clé : libéralisme
«Le Peuple», nouveau média romand de droite. Interview de Raphaël Pomey
Interview inédite – Antoine Bernhard
Le Peuple paraît en Suisse romande dès cette semaine sous la forme d’un bimensuel papier et d’un site internet. D’après son rédacteur en chef Raphaël Pomey, qui déplore un manque de diversité dans le monde médiatique romand, ce nouveau média donnera la parole à des personnes aux sensibilités peu entendues aujourd’hui. Le Regard Libre salue l’arrivée d’un nouvel acteur sur la scène journalistique romande et figure d’ailleurs parmi les quatre premiers partenaires du Peuple. Place à la conversation.
Lire l’interview (en libre accès)Adam Smith, entre égoïsme et altruisme
Lire Marx pour légitimer le capitalisme
Hegel, chantre d’un Etat autoritaire… ou libéral?
Johan Rochel, le tireur de ficelles de l’extrême centre
Pierre Bessard: «Les effets du confinement montrent précisément d’où vient notre prospérité»
Le Regard Libre N° 63 – Jonas Follonier
Dossier «Covid-19 et mondialisation»
Selon Pierre Bessard, pas de doute: la mondialisation capitaliste, créatrice de richesse, permet de réduire les effets négatifs des épidémies. L’ancien directeur de l’Institut libéral se livre à un entretien consacré à la mondialisation face au coronavirus et à des questions plus générales sur le libéralisme en Suisse et dans le monde.
Lire l’entretien (en libre accès)Peur irraisonnée contre peur raisonnée
Le Regard Libre N° 61 – Jonas Follonier
Il existe des cas où nous avons de bonnes raisons d’avoir peur, mais nous ne devons jamais avoir peur de la raison. Et pour cause, la raison, cette faculté de pouvoir penser, réfléchir, faire des raisonnements, est l’un des signes distinctifs de l’homme et lui permet de maîtriser ses instincts animaux. Parmi ses passions, l’être humain compte la peur. Parfois justifiée, parfois non, cette émotion a trait à l’instinct de survie. La raison permet de la gouverner.
Lire l’éditorialL’attitude libérale
Le Regard Libre N° 57 – Jonas Follonier
Il ne sera ni question ici d’un système économique, ni d’une philosophie politique, ni d’une idéologie: il sera question d’une attitude, l’attitude libérale. Si le libéralisme classique se base sur les principes de propriété privée, de responsabilité individuelle et de consentement collectif, il n’est garant d’une société ouverte – nous ne parlerons pas de société «inclusive», adjectif prisé par les progressistes de tout poil – que s’il pose comme autre condition à la vie en commun le principe de tolérance.
La tolérance, contrairement à ce que l’on peut croire, surtout actuellement, ne revient pas à tout accepter; au contraire. Etre d’accord avec le fait qu’autrui pense différemment, ce qui est typique de l’esprit de tolérance, n’implique pas d’être d’accord avec sa pensée. C’est précisément l’inverse: on tolère par définition une chose que l’on n’approuve pas, ou une personne aux idées ou aux agissements différents des siens. Il ne me viendrait pas à l’idée de «tolérer mes propres convictions» ou de «tolérer des gens admirables en tous points».
Lire la suite de l’éditorialAvec la vague verte, un nouveau conservatisme?
Spécial élections fédérales – Jonas Follonier
Le libéralisme et le conservatisme, deux créneaux de la droite classique européenne, ne sont pas les grands perdants des élections fédérales. A bien y réfléchir, la préoccupation écologiste désormais officiellement présente au sein de la population dénote une nouvelle forme de conservatisme et de façon de concevoir la liberté, au-delà de la dimension sociale et progressiste qui caractérise ce mouvement. Une mutation des grandes idéologies qui comporte bien sûr de grandes forces, mais aussi de grands risques. Analyse.
Lire l’éditorial inédit