La Folie des grandeurs, adaptation très libre du Ruy Blas de Victor Hugo, est un film sorti en 1971 et, comme par hasard, c’est un chef-d’œuvre. Il a fallu que le coronavirus s’invite dans nos contrées pour qu’un article soit consacré à ce monument du cinéma comique français dans Le Regard Libre. J’en ai honte, tant il y a de choses à dire pour expliquer que des films comme ça, on ne peut plus en faire aujourd’hui. Le talent de Louis de Funès, une bande originale de Michel Polnareff et de la légèreté dans l’époque: voilà quelques ingrédients de la recette de cette farce.
Musique de film
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Castro (Jean-Pierre Bacri) est un célèbre animateur de télévision dont la notoriété commence à s’effriter à cause des années. Il est convié par sa productrice, Nathalie (Léa Drucker), à la pendaison de crémaillère de sa nouvelle demeure, à une trentaine minutes de Paris. Décor champêtre, brochette d’invités issus du gratin audiovisuel de la capitale: l’ambiance est aux festivités, mais aussi à la bien-pensance. Castro, misanthrope et réplique parfaite de Thierry Ardisson, fait contraste parmi tous ces bobos – dont son ex-femme. La soirée va alors s’enflammer sous fond de tensions sociales, professionnelles et familiales.
(suite…)
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