Quatre ans après son dernier concert à l’auditorium Stravinski, le profil svelte et le costume trois pièces sont identiques. En ce samedi 2 juillet 2022, je suis à nouveau le témoin d’une épiphanie. Nick Cave et ses Bad Seeds déroulent, pendant plus de deux heures, leur liturgie. J’y reconnais les démons, mais surtout le parcours de rémission entamé par l’Australien. Une expérience organique et spirituelle. Récit.
Tag:
Nick Cave
-
Films
«This much I know to be True»: apprivoiser la souffrance
par Fanny Agostinopar Fanny AgostinoLes mercredis du cinéma – Fanny Agostino Véritable amuse-bouche avant la venue de Nick Cave au Montreux Jazz Festival le 2 juillet prochain, This much I know to be True signe la…
-
Musique
«Idiot Prayer : Nick Cave Alone at Alexandra Palace», la grâce comme horizon
par Fanny Agostinopar Fanny AgostinoLe Regard Libre N° 69 – Fanny Agostino
Longtemps peu enclin à répondre aux questions des journalistes, Nick Cave s’inspire de conversations avec son public pour repenser quarante ans de carrière sous la forme piano-voix. L’australien dispense un récital solitaire en toute transparence. Une confidence magnifique, sans échappatoire et sans tricherie.
Lire l’article long format (abonnés)
Ce contenu est réservé à nos abonnés.
Si vous avez un compte, connectez-vous. Sinon, découvrez nos différentes formules d’abonnements et créez un compte à partir de CHF 2.50 le premier mois.