L’Asie du Sud-Est vit désormais dans l’ombre de la Chine et sous la pression américaine. Existe-t-il une alternative pour les gouvernements de la région dans ce combat de géants?
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L’Asie du Sud-Est vit désormais dans l’ombre de la Chine et sous la pression américaine. Existe-t-il une alternative pour les gouvernements de la région dans ce combat de géants?
Tout le monde rêve d’une école débarrassée de toute influence politique. Mais n’est-ce pas un vœu pieux? L’histoire le rappelle: à travers l’école, c’est l’avenir d’une société qui se joue. En Suisse, c’est même par la politique qu’elle a pu être pacifiée.
Le 22 novembre, l’Iran déclarait avoir atteint un palier sans précédent dans l’enrichissement d’uranium, un pas essentiel vers l’obtention de l’arme nucléaire. Si l’annonce a peu défrayé la chronique, elle n’est pas sans répercussions sur la géopolitique mondiale.
Les Américains – dans une moindre mesure leurs alliés occidentaux – sont coutumiers de ce curieux exercice consistant à exporter la démocratie dans des pays non démocratiques par les armes. Une pratique au bilan plutôt mitigé.
«Ce n’est pas parce qu’un Etat n’est pas libéral qu’il ne peut pas être une démocratie». En 2014, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán, irrité de recevoir des leçons de démocratie, assumait son «illibéralisme». Simple effet d’annonce?
Depuis la vague qui a porté Donald Trump au pouvoir, en particulier depuis sa contestation du résultat de l’élection de 2016, la démocratie américaine semble se porter toujours plus mal. Loin de s’en contenter, les conservateurs sont prêts à aller encore plus loin.
Le sport, on le sait, est bien plus politique que ses grands acteurs le disent. Une manifestation de mauvaise foi diplomatique portant sur le dossier brûlant Israël-Palestine est passée presque inaperçue à Doha (Qatar)… Voyage au cœur des contradictions de la FIFA.
Rarement un mensonge d’Etat n’a eu des conséquences aussi dramatiques. En 2003, l’administration Bush présentait de fausses preuves de la possession d’armes de destruction massive par l’Irak, avant d’envahir le pays et de s’enliser dans une guerre des plus sanglantes.
Selon Kant, le mensonge mine les fondements de l’Etat, tandis qu’une vérité trompeuse est acceptable. Deux siècles plus tard, avec le président Clinton, la même logique semble toujours à l’œuvre dans l’affaire Lewinsky.
La société semble se diviser entre les personnes qui suivent leur ressenti pour rendre compte de leur identité, en particulier sexuelle, et les tenants de la biologie. Certains juristes soulignent les dérives auxquelles peut mener le droit quand il est fondé sur le sentiment.
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