A l’occasion de la présentation du dernier volet de sa trilogie consacré à Octave Parango, Frédéric Beigbeder nous emmène sur les traces de ce double littéraire et nous livre sa critique de la dictature du rire et sa passion pour le roman.
De passage à Payot Genève Rive gauche, Frédéric Beigbeder (sou)rit. Il présente à un public nombreux et enthousiaste son nouveau roman, L’Homme qui pleure de rire. Charismatique et charmant, l’écrivain français est un personnage mondain. De ceux que l’on rencontre dans les livres de Balzac, de Fitzgerald ou encore au sein de la plus haute société lettrée. Mais sous ce masque de dandy – décadent – se cache un féru des livres et un passionné d’histoires. Je le rencontre après son intervention à Payot pour un entretien exaltant dans une librairie déserte. Au sein du royaume des livres, l’écrivain français nous emmène sur les traces d’Octave Parango, de la dic