Les bouquins du mardi – Jonas Follonier
S’il est évident que nous ne vivons pas en dictature, et donc que l’expression de «dictature sanitaire» est malheureuse, les questions de la surveillance étatique ou des contraintes édictées «pour notre bien» doivent être abordées en tout temps avec le plus grand des sérieux, la démocratie devant toujours se rappeler à elle-même. Cela tombe bien, il y a quelques dizaines d’années, une bande dessinée avait déjà mis en scène cette nécessaire vigilance.