Après notre rencontre avec Laetitia Dosch au sujet de la reprise de son spectacle Hate, nous avons souhaité en savoir plus sur Corazón (le cheval qui joue dans Hate), ainsi que sur la personne qui gère le lieu où celui-ci a passé son existence et a été éduqué. Le mercredi 19 juin, votre rédacteur est donc de retour à Gimel pour rencontrer Judith Zagury, la co-fondatrice de l’école-atelier Shanju. Comédienne, dramaturge, Judith a aimablement accepté de nous recevoir autour d’un thé pour répondre à nos questions.
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De nos jours, la figure de l’animal est de retour sur nos scènes contemporaines, que ce soit par le biais des costumes ou, plus spécifiquement, de vrais animaux qui foulent les planches. Cependant, à l’inverse d’autres époques, il semblerait que ceux-ci interrogent notre humanité non plus en tant que simple miroir, mais qu’ils soient dotés de véritables capacités humaines, notamment relationnelles.
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Théâtre
Laetitia Dosch: «Mon travail est de placer les gens dans un endroit où ils ont matière à penser»
par Ivan Garciapar Ivan GarciaLe mardi 11 juin 2019, à l’école-atelier «Shanju» basée à Gimel, en pleine nature, nous rencontrons Laetitia Dosch, comédienne et metteure en scène franco-suisse. Personne charmante et accueillante, elle nous a généreusement consacré un peu de son temps pour parler de la reprise de son spectacle Hate. Il s’agit d’un duo avec un cheval nommé Corazón, joué en 2018 au Théâtre de Vidy, et repris du 29 août au 1er septembre prochains, à Gimel, pour lancer la nouvelle saison théâtrale.
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Le lundi 20 mai dernier, le théâtre de Vidy organisait la présentation de la première partie de la nouvelle saison 2019-2020. Dernière saison avant la rénovation du théâtre, celle-ci s’annonce riche en artistes de qualité et en spectacles engagés.
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CinémaFilms
«Gaspard va au mariage», le film le plus bizarre de ce printemps
par Jonas Follonierpar Jonas FollonierLes mercredis du cinéma – Jonas Follonier Déjà le générique aux lettres vertes «fluo» témoigne d’une esthétique particulière, plutôt désagréable. Tout comme la musique qui l’accompagne, digne des pires répondeurs automatiques…