Au nom du combat contre l’extrême droite, tout semble permis pour certains journalistes. Y compris ne pas apporter la contradiction à un invité, lequel n’hésite pas à assimiler l’action de Macron aussi bien que les votes de la population suisse au fascisme. Une telle attitude sur le service public, c’est une faute. Les citoyens ne paient pas une taxe pour entendre de la propagande politique et se faire vomir dessus. Retour sur le scandale RTS de jeudi.
Antoine-Frédéric Bernhard
Antoine-Frédéric Bernhard
Journaliste indépendant et étudiant en philosophie, Antoine-Frédéric Bernhard est le rédacteur en chef adjoint du Regard Libre.
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A côté de son métier d’enseignant dans un lycée valaisan, Stéphane Albelda engage une grande partie de son temps dans le théâtre. Cette année, avec les compagnies Nova Malacuria et Hussard de Minuit, il a porté à la scène la vie passionnante et mystérieuse d’Antoine de Saint-Exupéry. Il revient, pour Le Regard Libre, sur sa pièce Saint-Exupéry volé au ciel et sa passion pour «Saint-Ex», écrivain né à l’aube du XXe siècle, disparu au crépuscule de la Seconde Guerre mondiale, mais dont l’œuvre n’a pas fini de passionner les hommes.
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Entretien avec Jean-Pierre Siggen
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Le sociologue québécois Mathieu Bock-Côté fustige le «régime diversitaire» qui tend à remplacer la démocratie telle que nous la connaissons actuellement dans le monde occidental. Interview autour de son dernier livre La révolution racialiste.
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Le Regard Libre N° 76 – Antoine Bernhard
Cinquante ans après l’arrivée du suffrage féminin en Suisse, les socialistes veulent l’élargir de façon généralisée aux étrangers résidant dans le pays. En janvier, le parti a déposé une intervention parlementaire et lancé une pétition en ligne pour promouvoir le «droit de vote pour toutes et tous». Par cette opération démagogique, le PS dévoile au grand jour sa nature révolutionnaire et démontre qu’il est bien souvent l’ennemi du peuple. Commentaire.
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Le Regard Libre N° 75 – Antoine Bernhard
Plus de cinquante ans après sa sortie, Playtime brille encore par son génie. Quelle place pour l’homme dans la société industrielle? C’est sûrement la question centrale posée par cette comédie burlesque, qui a ruiné son réalisateur, Jacques Tati. Playtime n’a rien en commun avec les pitreries mièvres et grasses que produit bien souvent le cinéma français actuel. Fruit d’un travail esthétique sans pareil, ce long-métrage mérite amplement sa place parmi les plus grands films de l’histoire du cinéma. Et, signe de tous les chefs-d’œuvre, il nous parle encore aujourd’hui.
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Le Regard Libre N° 73 – Antoine Bernhard
Avec le progrès des sciences, en particulier des neurosciences, la possibilité du libre arbitre est toujours plus remise en cause. Nous découvrons chaque jour de nouveaux déterminismes, c’est-à-dire des conditionnements à agir d’une certaine façon dans un contexte donné. La capacité de l’homme à s’autodéterminer qui nous est si chère peut sembler n’être qu’une illusion. Mais avant que les sciences modernes ne s’en emparent, la question du libre arbitre a déjà une longue histoire. Remontons aux origines d’une idée fondatrice dans l’histoire de l’Occident.
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La gauche identitaire a encore frappé
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Dès 2016, toute la presse européenne – ou presque – a fait de Trump son nouveau bouc-émissaire. On déclarait à l’envi qu’il avait «volé» l’élection américaine, qu’il était illégitime et que les Etats-Unis entraient par sa faute dans la période la plus sombre de leur histoire. Quatre ans plus tard, la situation n’a guère changé: l’anti-trumpisme forcené est la seule opinion politiquement correcte. Toute remise en question du discours majoritaire est méprisée, aussitôt associée à l’extrême droite ou au complotisme. Il est temps de renoncer à cette facilité d’esprit.
(suite…)
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Dossier «Idéologie à l’université»
Pour comprendre l’idéologie régnant actuellement dans certaines universités, il convient de se pencher sur l’histoire récente des Etats-Unis, où cette idéologie est née. En 2017, l’énigmatique Donald Trump prêtait serment pour quatre ans à la tête de la première puissance mondiale. Aujourd’hui, l’heure est au bilan. Si tous les médias s’accordent pour décrier les politiques désastreuses de Trump, peu sont ceux qui analysent le contexte qui a permis le triomphe d’un nouveau populisme américain. Trente années pendant lesquelles la gauche s’est repliée sur un idéal de plus en plus individualiste et antirépublicain, au mépris de la nécessité d’une vraie vision politique. C’est ce que l’intellectuel de gauche et professeur à Columbia University Mark Lilla a analysé dans son livre La gauche identitaire paru en 2018.
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