Avec le recueil de poèmes en prose Le Spleen de Paris, publié à titre posthume, Charles Baudelaire a enrichi son œuvre dédiée à la mélancolie d’une dimension nouvelle: son ancrage dans la ville et le quotidien. Dans une forme radicalement nouvelle, le sujet baudelairien se comprend comme un chroniqueur de son miroir atrabilaire. Jusqu’à faire du Spleen de Paris le pendant des Fleurs du Mal – autrement dit, son égal.
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Que se cache-t-il derrière les rides d’une ville?
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