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Accueil » Quentin Mouron: «L’art m’a toujours semblé un artifice»

Quentin Mouron: «L’art m’a toujours semblé un artifice»17 minutes de lecture

par Jonas Follonier
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Le Regard Libre N° 70 – Jonas Follonier

Dossier spécial Quentin Mouron

Il est décrit comme le «Houellebecq suisse». Quentin Mouron pourrait tout aussi bien être considéré comme le «Beigbeder suisse». Comme le quinquagénaire français, il cultive une image de bad boy bien sapé, de dandy décadent. Comme le quinquagénaire français, ses œuvres sont plongées dans l’atmosphère des points limites, des bars classes, mais glauques, de la «vulgarité de la bourgeoisie» comme chante Thiéfaine, du sang et de la blanche. Comme le quinquagénaire français, il utilise l’astuce du double littéraire pour peindre avec distance, mais panache, ses paradoxes personnels, jusqu’à pointer ceux de la société entière. Sauf que Quentin Mouron, lui, a la trentaine, et c’est déjà une petite star dans l’univers littéraire francophone. En fin d’année dernière (nous aurions voulu écrire avant le monde de maintenant, qui a

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