Que resterait-il après la fin du monde, ou plutôt de la vie sur Terre, à la suite d’une catastrophe nucléaire ou du changement climatique? Certainement pas les œuvres d’arts. Mais peut-être la technologie. Voici un scénario tiré d’une exposition d’art numérique.
L’humain est son propre virus. La nature l’a fait naître et pourtant il la détruit. Si l’homme était réellement amené à disparaître de la Terre, la technologie pourrait lui survivre et pourquoi pas s’allier avec Mère Nature grâce à l’intelligence artificielle. L’art numérique serait ainsi la seule forme d’art existante pour témoigner du monde d’avant.
L’exposition «Au-delà du réel?» parcourt un temps où l’humain appartient à l’histoire ancienne et où le numérique, justement, est la seule potentialité artistique qu’il reste. Un temps où la Terre n’est qu’un lointain souvenir et où la crise climatique a