La question ne se pose même pas. Loin de nous la vile époque des mariages tant arrangés que forcés. Aujourd’hui, c’est évident, on se marie par amour, pour amour, avec amour, dans l’amour. Quoique «amour» semble un grand mot quand on pense que près de la moitié des mariages n’attend pas «que la mort nous sépare»; le divorce s’en charge au préalable. En réalité, on se marie désormais sous une autre impulsion: le sentiment amoureux. Lequel entraîne une forme bien particulière visant à rassurer les époux: le folklore, tant pour les unions civiles que religieuses.
Lire l'article grand formatCe contenu est réservé à nos abonnés.
