Balançant sans cesse entre les lois de l’attraction et celles de la répulsion, les personnages de Thomas Flahaut, dans son dernier livre Les nuits d’été, nous ébranlent par leur réalisme. Mieux, ils nous dévoilent le quotidien des travailleurs frontaliers francs-comtois.
Emile Zola
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Il faut aller voir l’œuvre pour la juger
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CinémaFilms
«Roubaix, une lumière», ou la parfaite illustration de l’oxymore
par Kelly Lambielpar Kelly LambielLorsque l’on a pour habitude de présenter ses réalisations au festival de Cannes, il ne faut pas s’étonner qu’elles finissent par être rangées dans la catégorie «films d’auteur». Une étiquette qui colle plutôt bien à l’œuvre d’Arnaud Desplechin, même si elle se trouve être quelque peu réductrice. Avec des longs-métrages tels que Comment je me suis disputé… (ma vie sexuelle), Ester Kahn, Un conte de Noël ou La Sentinelle,le réalisateur a prouvé, à plusieurs reprises, être capable d’explorer différents styles et registres. Avec Roubaix, une lumière, bien que fidèle à certaines thématiques, c’est au genre du réalisme poétique qu’il s’essaie, non sans une certaine virtuosité.
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Un article inédit de Loris S. Musumeci Avant que d’élucider les mystères et les raisons de ce qui fait aujourd’hui le bon journalisme par la sauvegarde d’une identité imprégnée et…