Parmi les expériences musicales, il en est une particulièrement intense: celle du sublime. Une expérience qui s’apparente à celle de la vision mystique, sans pour autant prétendre au même degré de perfection ni de participation à la divinité. Cependant, l’expérience de ce sublime est possible à travers la musique... pour qui veut bien l’entendre.
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Le Regard Libre N° 11 – Jonas Follonier
L’année 1968 marqua l’histoire des idées, de la chanson, mais aussi du cinéma. En effet, avec Il était une fois dans l’Ouest (C’era una volta il West), Sergio Leone n’avait plus à prouver la force du western italien apparu cinq ans plus tôt et dont il fut sans conteste le plus grand réalisateur.
Le bon, la brute et le truand, en 1966, avait déjà amorcé l’apogée du genre. L’apparition de gros plans au tout début du film suffisait à considérer l’art de Sergio Leone comme une révolution cinématographique. Toutefois, il serait fou de ne pas expliquer ces chefs d’œuvre, du moins partiellement, par la musique d’Ennio Morricone.
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