Que le critique littéraire dévore des tonnes de livres n’étonne personne. Toutefois, au sein de cette chronique, celui qui ingurgite l’objet de son travail ne sera pas lui, mais un modeste et intrépide employé d’une casse automobile.
Critique littéraire
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Chaque mois, notre critique littéraire s’attache à passer une œuvre au kaléidoscope, afin de récolter les images qu’elle projette et restituer leurs diffractions. Quitte à ce que les éclairs de génie s’avèrent des éclats de verre.
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Chaque mois, notre critique littéraire s’attache à passer une œuvre au kaléidoscope, afin de récolter les images qu’elle projette et restituer leurs diffractions. Quitte à ce que les éclairs de génie s’avèrent des éclats de verre.
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Littérature
Six balades pour découvrir la Genève d’Albert Cohen
par Sandrine Roverepar Sandrine RovereLes liens entre l’écrivain franco-suisse et sa ville d’adoption ont toujours été complexes. Un ouvrage rappelle toutefois le rôle important que la cité de Calvin a joué dans la vie de l’auteur de Belle du Seigneur.
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Avec «Ce qu’il reste de tout ça», Fanny Desarzens signe le portrait doux et sensible d’une famille ordinaire dans la Suisse romande des Trente Glorieuses.
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Le couple, à la fois ancrage et vertige, miroir d’une société en mutation. Dans son nouveau roman, Nathan Hill dévoile la beauté crue et les failles brûlantes de cette institution intemporelle.
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Popularisé sous le pseudonyme L’Odieux Connard, Julien Hervieux revendique le slogan «Qu’il est bon d’être mauvais!». Dans son nouveau livre, il démonte avec délectation les plus grands affreux qui ont jalonné l’histoire.
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Pauline Toulet livre un premier roman farfelu et critique du monde littéraire, centré sur personnage déjanté, plus porté sur les marabouts que son époque. Mais qui, lui, n’aura pas réussi à m’envoûter.
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Après avoir lu «Le Barman du Ritz» de Philippe Collin, passer devant cet hôtel parisien ne sera plus anodin. Car durant l’Occupation, Frank Meier, «meilleur barman au monde», servait sous les rires des nazis, dans un théâtre contrasté de champagne et de guerre.
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Ce portrait bouleversant d’une fillette enlevée par son père est un incontournable de la rentrée littéraire romande. Il semble déjà promis à un beau succès auprès des prix francophones.