L’histoire se déroule il y a plus de cent ans aux Etats-Unis. La lutte des classes fait rage et Jack London nous crache au visage la laideur du monde au travers d’une brillante histoire d’amour. Martin Eden mérite d’être découvert dans sa récente version audio.
Littérature américaine
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Littérature
Cette étrange dame qui aimait les toilettes propres
par Le Regard Librepar Le Regard LibreCritique cocasse d’une pseudo-élite américaine.
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Dernier roman publié du vivant de Charles Bukowski, quelques mois avant sa mort, Pulp raconte l’histoire de Nick Belane, un minable détective privé, dans une folle enquête au service de La Mort. La cible de cette enquête? Un célèbre écrivain français. Une dernière virée loufoque pour l’auteur et son personnage avant de quitter ce monde. Mais aussi et surtout, une ode à la mauvaise littérature. A se procurer, à toute vitesse.
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Un petit livre incontournable que «Portnoy et son complexe», roman de 1969 ayant valu à l’Américain Philip Roth sa sulfureuse notoriété. L’auteur avait déjà publié un recueil de nouvelles dix ans plus tôt, «Goodbye, Columbus», qui n’avait pas obtenu le succès. Néanmoins, les thèmes obsessionnels de Roth étaient déjà présents, à commencer bien sûr par la judéité. Obsessionnel, cet écrivain l’est assurément, comme tous les génies. Imaginez un Tarantino qui ne fût pas obsessionnel, de même qu’un Proust, un Polnareff, un Flaubert ou un Kubrick. Et il est une obsession qui parcourt tout «Portnoy et son complexe»: celle du sexe.
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Mourir bêtement d’un coup de baïonnette par refus de subordination à n’importe quel ordre moral. Finir déchiqueté sur le champ de bataille comme un bout de viande parce qu’on a refusé l’inculcation d’une quelconque tradition. Est-ce que cela en vaut la peine? La question fait écho au terme «indignation» – le sentiment de colère qui soulève une action qui heurte la conscience morale, le sentiment de la justice – titre du roman de feu Philip Roth.
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Dans ce roman total, Philip Roth dissèque le rêve américain à travers la vie de Seymour Levov, modèle d’intégration et de réussite, que l’Histoire finira par broyer. Une œuvre de maître qui dévoile la fragilité et le mystère de toute destinée.
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La dystopie de Philip Roth peint la vie dans une Amérique devenue antisémite. L’histoire modifiée brise nos certitudes et ravive une peur qui jusque-là sommeillait en nous.
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Le Regard Libre N° 27 – Léa Farine « Le plus souvent, rien de particulier ne me tracasse, du moins rien qui ne soit aussitôt rectifiable, rien d’autre que le…