Après s’être aventuré en poésie et avoir publié un essai (consacré à Jean Lorrain), Quentin Mouron a renoué avec ses amours romanesques grâce à La dernière chambre du Grand Hôtel Abîme. Des retrouvailles en dents de scie.
Quentin Mouron
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Littérature
Quentin Mouron: «L’art m’a toujours semblé un artifice»
par Jonas Follonierpar Jonas FollonierLe Regard Libre N° 70 – Jonas Follonier
Dossier spécial Quentin Mouron
Il est décrit comme le «Houellebecq suisse». Quentin Mouron pourrait tout aussi bien être considéré comme le «Beigbeder suisse». Comme le quinquagénaire français, il cultive une image de bad boy bien sapé, de dandy décadent. Comme le quinquagénaire français, ses œuvres sont plongées dans l’atmosphère des points limites, des bars classes, mais glauques, de la «vulgarité de la bourgeoisie» comme chante Thiéfaine, du sang et de la blanche. Comme le quinquagénaire français, il utilise l’astuce du double littéraire pour peindre avec distance, mais panache, ses paradoxes personnels, jusqu’à pointer ceux de la société entière. Sauf que Quentin Mouron, lui, a la trentaine, et c’est déjà une petite star dans l’univers littéraire francophone. En fin d’année dernière (nous aurions voulu écrire avant le monde de maintenant, qui a
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Le Regard Libre N° 70 – Ivan Garcia
Dossier spécial Quentin Mouron
Dans deux de ses romans, Quentin Mouron met en scène les aventures d’un détective privé cynique qui, malgré son flair, est souvent à côté de la plaque. Une manière de dépeindre la perte de sens contemporaine.
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Les bouquins du mardi – Ivan Garcia
Assailli par des lettres de l’administration lui rappelant son prochain service de protection civile, un narrateur anonyme décide de fuir son appartement helvétique. Ne sachant ni où aller, ni avec qui, il se lance tel un aventurier solitaire sur les chemins. Jusqu’à sa rencontre avec un mystérieux homme qui l’embarque, à bord de son Audi A4 Berline, sur la route de Vesoul pour assister à un congrès. Mais ce même 7 janvier 2015, un élément important se produit…
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