Vous êtes sur smartphone ?

Téléchargez l'application Le Regard Libre depuis le PlayStore ou l'AppStore et bénéficiez de notre application sur votre smartphone ou tablette.

Télécharger →
Non merci
Accueil » Quand l’art contemporain s’adonne à sa propre satire

Quand l’art contemporain s’adonne à sa propre satire5 minutes de lecture

par Aude Robert-Tissot
0 commentaire
kunsthausneverland

Le Regard Libre N° 83 – Aude Robert-Tissot

Dossier ironie

Un centre d’art contemporain imaginaire? Serions-nous, une fois de plus, victimes d’une supercherie de l’époque? Absolument pas. C’est le concept très sérieux du Kunsthausneverland. Un centre d’art contemporain en tant que tel, dirigé par un collectif d’artistes proposant une réelle programmation. La spécificité? C’est sur la toile, plus précisément sur Instagram, que se déroulent les expositions. Réflexion autour d’un espace innovant qui développe une satire profonde de l’art contemporain en usant de photomontages en forme de pied de nez aux internautes.

«2022 km/h»: c’est le titre de leur deuxième exposition de cette nouvelle année. Trois artistes contemporains sont les fondateurs du Kunsthausneverland: Renaud Loda, Benjamin Zollinger et Sir Gudel. Localisé officiellement au Creux-du-Van (NE), ce nom de centre d’art

Ce contenu est réservé à nos abonnés.

Si vous avez un compte, connectez-vous. Sinon, découvrez nos différentes formules d'abonnements et créez un compte à partir de CHF 2.50 le premier mois.

Vous aimerez aussi

Contact

© 2024 – Tous droits réservés. Site internet développé par Novadev Sàrl