Le sport, on le sait, est bien plus politique que ses grands acteurs le disent. Une manifestation de mauvaise foi diplomatique portant sur le dossier brûlant Israël-Palestine est passée presque inaperçue à Doha (Qatar)… Voyage au cœur des contradictions de la FIFA.
Faire le bien autour de soi est un talent que beaucoup revendiquent. Mais quand une faîtière surpuissante dans le giron du sport mondial, critiquée pour ses choix et ses engagements fallacieux, interfère de façon maladroite sur le champ diplomatique et assure de pied en cap que ses actions sont apolitiques, et le fait derechef dans le pays du soft power, le scénario prête à sourire.
Ces contradictions, œuvre de la communication hasardeuse de la Fédération internationale de football
Ce contenu est réservé à nos abonnés.
