En 2018, Girl avait été couronné par trois prix sur la croisette. Le nouveau film du Flamand Lukas Dhont poursuit sa contemplation des bouleversements adolescents. Cette fois, par le prisme du regard d’autrui. Close, la collision frontale de l’enfance et du monde.
Adolescence
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Quatre ans après En liberté!, Pierre Salvadori revient avec La Petite Bande, une comédie parfaite pour un été caniculaire. Un film qui offre un voyage double, à la fois dans…
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Que fait-on d’un suicide?
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CinémaFilms
Notre «OK» sera notre «Pour toujours» avec «Nos étoiles contraires»
par Le Regard Librepar Le Regard LibreUne émouvante leçon de vie
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Les mercredis du cinéma – Melisa Oriol Tate Taylor après son sublime chef-d’œuvre La couleur des sentiments, primé à de nombreuses reprises, déçoit, cette fois, avec Ma, un film d’horreur…
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Les mercredis du cinéma – Kelly Lambiel T-shirt Street Fighter, console de Super Nintendo dans les mains, poster à l’effigie du logo du groupe de rap Wu-Tang, couverture Tortues Ninjas et tentative…
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DOSSIER PHILIP ROTH, Jonas Follonier | Un petit livre incontournable que «Portnoy et son complexe», roman de 1969 ayant valu à l’Américain Philip Roth sa sulfureuse notoriété. L’auteur avait déjà publié un recueil de nouvelles dix ans plus tôt, «Goodbye, Columbus», qui n’avait pas obtenu le succès. Néanmoins, les thèmes obsessionnels de Roth étaient déjà présents, à commencer bien sûr par la judéité. Obsessionnel, cet écrivain l’est assurément, comme tous les génies. Imaginez un Tarantino qui ne fût pas obsessionnel, de même qu’un Proust, un Polnareff, un Flaubert ou un Kubrick. Et il est une obsession qui parcourt tout «Portnoy et son complexe»: celle du sexe.
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Les mercredis du cinéma – Loris S. Musumeci «Je m’appelle Lady Bird. Je me suis baptisée moi-même.» Dernière année au lycée catholique de Sacramento avant l’université. Christine (Saoirse Ronan), qui…