D’après le sociologue Michel Maffesoli, qui s’est exprimé dans l’émission «Face à l’info» du 9 mars dernier, nous nous trouvons au carrefour de deux époques; à un temps de la quantité sommes-nous peut-être en train de revenir à un temps de la qualité. Si tel est le cas, peut-être le XXIe siècle sera-t-il celui du roman, qui lui seul est capable d’exprimer les vérités non quantifiables. A de maints égards, et sans doute de façon surprenante, 99 francs, le roman de Frédéric Beigbeder dénonçant la tyrannie de la publicité et qui inaugure la trilogie mettant en scène Octave Parango, peut se lire selon cette conception-là du roman – celle Milan Kundera.
Lire l’article (abonnés)Gustave Flaubert
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Les bouquins du mardi – Loris S. Musumeci Bref mais efficace. Et l’efficacité n’est pas que le fruit d’un gain ou d’un profit. Il n’est pas même question d’instruction ou de…
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Angélique Eggenschwiler: «Je conçois la langue comme un absolu»
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Luchini – Finkielkraut, quand deux grands hommes s’admirent
par Jonas Follonierpar Jonas FollonierLes lundis de l’actualité – Jonas Follonier Il existe des moments de télévision qui sont de véritables perles en direct, des instants d’intelligence et d’intimité qui rehaussent le téléspectateur. L’émission…
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«Faute d’amour», un film qui en dit long sur les maux de notre époque
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Stéphane Marti est professeur de littératures française et latine ainsi que de cinéma et photographie pour l’Atelier du Regard qu’il a fondé au Lycée-Collège des Creusets de Sion, en Valais. Amoureux du septième art, il préside la Fondation Fellini. Ses nombreux engagements pour l’art et la culture lui ont valu de nombreuses gratitudes telles que la médaille d’argent de l’Académie des Arts-Sciences-Lettres ou le titre de Cavaliere OSI de la République italienne. C’est un homme simple, dévoué et passionné qui répond généreusement à nos questions sur les liens entre littérature et cinéma.
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Olivier Rey est mathématicien et philosophe