Archives par mot-clé : liban
«Non, Monsieur Zemmour, il n’y aura pas de ‘‘libanisation’’ de la France»
«Costa Brava, Lebanon»: par-delà la nostalgie
Les mercredis du cinéma – Alice Bruxelle
Inscrit dans la «Sélection Cinéfondation» du Festival de Cannes 2016, le premier court-métrage de Mounia Akl, Submarine, inaugurait déjà un jeune talent dans le paysage cinématographique. Costa Brava, Lebanon en est la confirmation. Soumis aux Oscars 2022 pour représenter le Liban, mais non retenu dans les nominations, le film dresse le portrait intime d’une famille sur fond de crise politique. Le Regard Libre a eu le privilège de s’entretenir avec la cinéaste (interview séparée à paraître prochainement).
Lire la critique (en libre accès)Pendant ce temps, au Liban, l’anxiété est figée sur les visages
Le Regard Libre N° 78 – Sophie Woeldgen
Chaque mois, retrouvez la chronique de l’une des personnalités qui nous font le plaisir de prendre la plume en s’alternant. La journaliste indépendante Sophie Woeldgen nous raconte de l’intérieur comment le Liban tente de se reconstruire.
Lire la chronique (en libre accès)Au Liban avec Sophie Woeldgen: Petits arrangements affectifs
Au Liban avec Sophie Woeldgen: Les silences de Beyrouth
Les frontières d’une piscine pour raconter le territoire étranger du Liban
Les bouquins du mardi – Diana-Alice Ramsauer
Une piscine dans le désert, c’est le quotidien de trois personnages, pendant trois jours, lovés entre trois pays, et qui se débattent entre les frontières de l’étrange, de la maternité et de la propriété. C’est aussi un conte libanais absurde et poétique qu’il faut lire comme une contemplation d’un carrelage au fond d’une piscine où le tout a autant d’importance que chaque pièce de céramique, parfaite ou craquelée.
Continuer la lecture de Les frontières d’une piscine pour raconter le territoire étranger du LibanDes luttes mondiales?
Les lundis de l’actualité – Clément Guntern
Parfois, l’actualité internationale semble parler d’une même voix. Depuis quelques jours, les mouvements sociaux de masse se sont multipliés à travers le globe. Certains étaient en hibernation depuis quelques mois comme en Catalogne, d’autres sont actifs depuis plus longtemps comme à Hong Kong.
Lire la chronique«On n’arrête pas un peuple qui danse»: quand l’énergie du cœur fait la guerre au désespoir
Les bouquins du mardi – Hélène Lavoyer
Lorsque Sarah enfourche sa Part (une moto de 125cm3) syrienne en 2015, quatre ans après son retour de Syrie, la réalité de conflits dont la plupart ne connaissent que le récit médiatique est déjà ancrée dans l’esprit de la jeune femme. Pourtant, guidée par un feu intérieur et armée d’un culot bienvenu, elle entame la route qui l’emmènera sur les terres mixtes du Liban, qu’elle fait découvrir au lecteur en combinant un humour sarcastique et spontané, avec un ton grave, inévitable pour parler de la «sur-vie» imposée aux êtres sur les terrains de ces guerres où de multiples acteurs tentent de prendre le dessus. Continuer la lecture de «On n’arrête pas un peuple qui danse»: quand l’énergie du cœur fait la guerre au désespoir
«Capharnaüm»: entre désespoir et frustration
Les mercredis du cinéma – Hélène Lavoyer
A environ douze ans, Zain s’enfuit de la maison après que son père et sa mère ont accepté d’offrir leur fille, Sahar, onze ans, à leur propriétaire. Mais les rues dans lesquelles déambule le «petit homme» n’ont rien, rien de semblable à celles que nous arpentons ici, en Suisse. Tout d’abord, parce que ce sont les rues de Beyrouth (Liban) et pas celles de Berne, de Bienne ou de Lausanne. Les rues de Beyrouth sont composées de bâtiments aux toits bas, aux portes de tissus ou de métal, cadenassées par des chaînes et sur le pas desquelles se tiennent inlassablement les voisins de paliers, les camarades de misère.
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