Après le succès de Thor: Ragnarock, sortie en 2017, le réalisateur néo-zélandais Taika Waititi refait surface avec sa comédie satirique Jojo Rabbit. Cette adaptation du roman Le Ciel en cage de Christine Leunens suit la vie haute en couleur du jeune Johannes Betzler, nouvel adhérent des jeunesses hitlériennes. Malgré une thématique vue et revue au cinéma, le projet de Waititi aborde la Seconde Guerre mondiale de façon innovante. L’approche décalée et inédite du film le rend intemporel. Gros plan sur cette comédie satirique, disponible sur Disney+ depuis le 12 août.
Cinéma américain
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Films
«Silverton Siege»: le cinéma d’Afrique du Sud s’affirme, mais n’abolit rien
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«House of Gucci»: quand la froideur vire à l’indifférence
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«A.I. Intelligence artificielle», aux limites des larmes
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«Duel»: l’un des rares films à la fois intellos et populaires
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Faut-il donc le voir? Assurément.
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Le Regard Libre N° 66 – Loris S. Musumeci
Dossier spécial «Woody Allen»
Il ne s’agit pas d’une autobiographie quelconque. Le parcours du personnage qui se raconte y est certes pour quelque chose, mais cela ne fait pas tout. Aussi impressionnant soit le cinéma de Woody Allen, il n’assure pas un tel plaisir à la lecture d’un pavé de 534 pages qui est divisé ni en parties ni en chapitres. Point de travail de mémoire, mais un travail de divertissement. Le réalisateur endosse à nouveau l’habit de l’écrivain pour romancer une vie aussi hilarante que ridicule, et donc touchante. Lire Soit dit en passant, c’est passer un bon moment de rires et de complicité avec le principal concerné.
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C’est le moins connu parmi tous les films de Tarantino. Ou alors il est connu pur être le plus grand échec du réalisateur. Mais malgré l’ennui et la déception, surtout durant la première partie, ce film contient aussi ses grands moments de cinéma.
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Le Regard Libre N° 64 – Loris S. Musumeci
Dossier spécial Quentin Tarantino
Des musiques dans la tête. Des images. Des hurlements. Des dialogues frôlant l’absurde. Encore des hurlements. De la bouffe. De l’ivresse. Des giclées de sang. Et consorts. On pense à tout ça quand on pense à Tarantino. Et quand lui écrit ses scénarios, il pense à tout ça aussi. Et à tout ce qui a précédé son œuvre. En écrivant sur Tarantino, on fait déjà du Tarantino. On cite ce qu’il a lui-même cité. On aime ce qu’il a lui-même aimé. Simplement. Parce qu’avec Tarantino, c’est simple. Tout ce qu’il aime, il l’insère dans ses films. Pour ce dossier spécial, c’est simple aussi. Tout ce qu’on aime chez Tarantino, on le met dans les articles. En reparcourant ses neuf films, de Reservoir Dogs (1992) à Once Upon a Time… in Hollywood (2019), en circulant sur le Boulevard de la mort (2007) pour revenir à la belle ép
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