Alors que les «films de procès» semblent être revenus sur le devant de la scène, Cédric Kahn joue la carte de la radicalité en offrant un film solide, brillant et drôle sur la machine judiciaire française du milieu des années 1970.
Mathieu Vuillerme
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Lorsque Eiichirō Oda, l’auteur du manga le plus vendu de l’histoire, a annoncé le projet d’adaptation de son œuvre en live action, qui plus est sur Netflix, son lectorat s’est…
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Après un premier tome «La cité en flammes», Don Winslow revient cette année avec «La Cité des rêves», sorte de long périple s’inspirant cette fois-ci de «L’Enéide» de Virgile. Entre déambulations et prises de conscience, que vaut cette suite des aventures de Danny Ryan?
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Humoriste, romancier et réalisateur, Mourad Winter s’est fait connaître sur Instagram où ses stories ont fait hurler de rire (presque) tout le monde. Aujourd’hui, il publie «Les Meufs c’est des mecs bien», au ton toujours aussi irrévérencieux. Mais à quel prix?
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Wes Anderson est probablement le réalisateur contemporain le plus facilement reconnaissable. Plans symétriques, humour absurde, couleurs pastel, le cinéaste américain a imposé sa patte. Mais s’est-il enfermé dans son propre schéma avec «Asteroid City»?
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Premier film d’Elias Belkeddar, présenté en hors-compétition au Festival de Cannes 2023, Omar la fraise alterne entre buddy movie, comédie burlesque, film de gangsters et ode aux origines.
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Conspué dans son pays natal, encensé en francophonie, Bret Easton Ellis revient en ce début d’année avec un nouveau roman, son septième. Pas de surprise: on y croise toujours des jeunes désabusés, de la violence, de la drogue et de l’ennui bourgeois. Un renouveau, vraiment?
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Fer de lance de l’elevated horror (le cinéma d’horreur plus artistique) depuis ses excellents «Hereditary» (2018) et «Midsommar» (2019), Ari Aster présente «Beau is Afraid», entre conte horrifique et comédie noire. Mais est-ce que le film tient ses promesses sur 2h59?
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Conspué dans son pays natal, encensé en francophonie, Bret Easton Ellis revient en ce début d’année avec un nouveau roman, son septième. Pas de surprise: on y croise toujours des jeunes désabusés, de la violence, de la drogue et de l’ennui bourgeois. Un renouveau, vraiment?
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Conspué dans son pays natal, encensé en francophonie, Bret Easton Ellis revient en ce début d’année avec un nouveau roman, son septième. Pas de surprise: on y croise toujours des jeunes désabusés, de la violence, de la drogue et de l’ennui bourgeois. Un renouveau, vraiment?
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