Chaque mois, retrouvez la chronique d’une des personnalités qui nous font le plaisir de prendre la plume en alternance. Actualité, histoire, politique et philosophie: plongée dans les lectures de l’ancien conseiller fédéral Pascal Couchepin.
Lire la Chronique (abonnés)Apocalypse
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Quand on pense à la fin du monde en littérature, deux choses viennent immédiatement à l’esprit: Joël Dicker ou les grandes dystopies. Ce n’est ni de l’un ni de l’autre que nous allons parler ici. De la même façon que la fantasy et la science-fiction sont intimement liées à la vision apocalyptique de l’humanité, la littérature dite «blanche» s’empare également de plus en plus du sujet. Et si le monde s’en trouve bousculé, les deux romans que nous allons aborder bousculent eux aussi le lecteur. Chacun à sa façon.
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Il y a le changement climatique. L’augmentation de la population mondiale. L’épuisement des ressources. Des faits que personne ne peut nier en tant que tels. Il y a aussi l’extension…
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Retour de la guerre en Europe, menace nucléaire, crise climatique… le spectre de la «fin du monde» n’a pas disparu. Lumière sur notre prochain numéro, à paraître le 3 octobre.
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Le Regard Libre N° 63 – Loris S. Musumeci
De la philosophie de haut vol. Tout est accompli est signé par trois écrivains: Yannick Haenel (prix Médicis 2017 pour Tiens ferme ta couronne), François Meyronnis (auteur entre autres essais importants de L’Axe du Néant, 2003) et Valentin Retz (penseur de la soumission du monde physique face au monde virtuel, notamment dans son dernier roman Noir parfait, 2015). Trois pointures. Trois amis. Tous trois animent la revue Ligne de risque. Tout est accompli laisse en larmes; du moins, il m’a beaucoup ému. Pourtant cérébral, exigeant et même difficile, bien qu’accessible, cet essai émeut pour deux raisons – oui, l’intelligence peut s’émouvoir. Le premier émoi est amer; il vient du regret d’être passé à côté de tant de richesses dans un ouvrage d’une telle densité. En gros, j’étais frustré de ne pas avoir tout compris, d’avoir dû renoncer à tout retenir. Le second
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Des séquences à la limite de l’insoutenable
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CinémaFilms
«Perfect Sense»: coup de foudre à Manhattan au temps de la pandémie
par Fanny Agostinopar Fanny AgostinoEntre la romance et l’apocalypse
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Dans un futur proche abîmé par les guerres
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Le cinéma d’anticipation anticipe, prophétise et avertit.
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Les mercredis du cinéma – Hélène Lavoyer « Souffle ou blé ? – Blé. » Dans les yeux de Semih Kaplanoğlu, la population future est enfermée dans l’enceinte de villes protégées de portails…