Avec «Ce qu’il reste de tout ça», Fanny Desarzens signe le portrait doux et sensible d’une famille ordinaire dans la Suisse romande des Trente Glorieuses.
L’essayiste français Samuel Fitoussi publie «Pourquoi les intellectuels se trompent», un essai incisif sur les mécanismes qui poussent certains esprits brillants à défendre des idées absurdes, avec des conséquences parfois désastreuses.
Selon Mark Schelker, la Confédération manque de données fiscales clés. L’économiste plaide pour une centralisation sécurisée des informations afin de mieux prévoir les effets de réformes fiscales, comme l’initiative des Jeunes socialistes sur les successions. (suite…) Ce contenu est réservé à nos …
Critiquer les élites ne revient pas à les rejeter, mais suppose justement de croire encore en leur mission. A condition de ne pas basculer dans l’opposition systématique.
A l’heure de turbulences géopolitiques, l’interventionnisme peut être souhaitable, à condition que le pouvoir politique soit capable de faire marche arrière ensuite. Or, rien n’est moins sûr en ce qui concerne un pays comme la France, par ailleurs déjà surendetté.
Sous couvert d’inclusion et de justice sociale, l’université sacrifie trop souvent la rigueur scientifique à l’idéologie. Cette dérive compromet sa mission première, selon l’historien Olivier Moos: éclairer le réel plutôt que servir des causes.
Chateaubriand ne séduit plus les jeunes. L’impact politique de ses écrits fut pourtant considérable au XIXe siècle, à tel point qu’il fut longtemps considéré comme l’un des phares d’une jeunesse révoltée. Son style, qui rebute aujourd’hui, n’y est pas pour rien.
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par Pascal Couchepin
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par Ralph Müller
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par Pascal Couchepin