Archives par mot-clé : genre
Avant les notions d'homo- et d'hétérosexualité
Schamlos!, quand la pornographie rompt avec les stéréotypes
Hors catégorie – Amélie Wauthier
Ça fait un moment que je cherche un prétexte pour rédiger un article sur le féminisme, le genre, la culture du viol, tout ça. Quelque chose de subtil, histoire de ne pas braquer d’avance les éventuels lecteurs qui auraient quelques a priori sur le sujet – pour ceux qui rejettent catégoriquement tout ce qui sort du moule, désolée, ça ne va pas le faire! Du coup, quand on m’a parlé de Schamlos!, un festival de pornographie queer féministe, j’ai crié «Banko!».
Lire l’articleQuelques nouveaux arguments contre l’écriture inclusive
Pour en finir avec l'Etat-thérapeute
Michel Siggen: «La philosophie est bel et bien devenue folle»
ENTRETIEN LONG FORMAT, Jonas Follonier | Il fait partie de ces aristotéliciens réalistes investis dans leur recherche de la vérité. Ces professeurs engagés philosophiquement, qui n’entrent pas dans la mollesse ambiante de ceux qui se contentent de présenter une théorie donnée et sa théorie adverse, en laissant le soin aux étudiants de choisir laquelle est la plus juste. Face à l’intransigeance et à la rigueur de ces maîtres, les élèves ne peuvent que réfléchir à leur tour. Par rébellion et par admiration. Par imitation et par innovation. Michel Siggen fut mon professeur de philosophie au lycée et nous nous retrouvons aujourd’hui sur beaucoup de thématiques. Le semestre dernier, il a consacré son cours à "La philosophie devenue folle", un ouvrage paru en 2018 aux Editions Grasset. Son auteur, Jean-François Braunstein, s’attaque aux théories actuellement à la mode sur le genre, l’animal et la mort.
Des toilettes non genrées? Allons donc!
ARTICLE LONG FORMAT, Danilo Heyer | Ce mercredi 22 mai, Jonas Follonier, rédacteur en chef de la présente revue, partageait sur les réseaux sociaux la photo de la porte des toilettes pour hommes de la Faculté des lettres et sciences humaines de l’Université de Neuchâtel. Sur cette porte figurait une petite affiche masquant le logo masculin et indiquant que «les toilettes avaient été libérées du genre parce que les sigles hommes-femmes affichées sur les toilettes oppressent une partie de la population universitaire». A l’origine de cette action, le «collectif UniNE pour la grève des femmes* et féministe», qui «appelle au boycott de ces codes stéréotypés et moyenâgeux».
Etre un mec aujourd’hui, entre virilité et raffinement
Etre un mec, une tâche difficile aujourd'hui